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03/07/2009

Emmerdeuses, emmerdantes, emmerderesses

 

19/03/2008

Conversation

Nostalgique, moi ? Pas forcément, mais comment ne pas soupirer de regret quand on découvre ce qu'à pu être la télévision. Voici, sur le site de l'INA, dans les désormais incontournables Archives pour tous, un passage de l'émission Bibliothèque de poche du 10 juillet 1970 dans lequel Michel Polac questionne René Fallet et Georges Brassens. Ceux-ci parlent de livres, de poésie, de Mon Oncle Benjamin de Claude Tillier, de Lamartine, Gide, Villon le poète préféré du chanteur, Leautaud, Aymé, Ovide, tant d'autres. Autant de talent, autant d'intelligence et de simplicité, c'est presque douloureux.

La vidéo

 

07/02/2007

Détente sous l'orage

07/07/2006

Grand Georges

J'aime autant Brel que Brassens. Il y a pourtant quelque chose qui les différencie radicalement, c'est que Brel n'a cessé d'évoluer tout au long de sa carrière selon une pente ascendante, cherchant, s'améliorant, explorant de nouvelles pistes musicales ; alors que Brassens semble avoir toujours été Brassens. Si quasiment tous les albums de Brel sont différents, Brassens semble avoir trouvé son style et sa langue dès la première chanson. Ca ne veut pas dire qu'il n'a pas évolué au cours de sa longue carrière, bien entendu, mais ça reste de la maîtrise, de la technique. Le reste, le talent, est déjà là et bien qu'il ait chanté : « Sans technique un don n'est rien qu'une sale manie », Brassens a toujours été Brassens.

  

06/07/2005

Un petit coin de parapluie

C'est le Canard Enchaîné qui « découvrit » Georges Brassens, sous la plume de René Fallet. C'est cet article plein de verve et qui pourrait inspirer nos actuels critiques musicaux, qui sert de prologue à Brassens par Brassens de Loïc Rochard.
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Extraits :

La grandeur de la chanson, l'avantage qu'elle a, c'est qu'on l'emporte toujours avec soi. On l'a en soi. On la reçoit aujourd'hui, demain on l'apprend, après demain on la sait, et puis on l'emporte. Et, chaque jour, on se la redit un peu. Vous vous en servez ensuite dans tous les évènements qui vous arrivent. Si vous êtes heureux, vous vous servez de cette chanson pour amplifier votre bonheur. Si vous êtes malheureux, vous vous en servez pour accroître votre chagrin. Mais elle est toujours présente, elle vous sert constamment selon vos états d'âme.


Tiens, Brassens connaissait les i-pod, les radios-blog et les échanges de fichiers musicaux sur Internet.

Je crois que pour parler en public, il faut être ou très con ou très intelligent. N'étant ni l'un, ni l'autre, j'ai des difficultés.
 

Tiens, Brassens connaissait les blogs.
 
Le livre