Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/07/2011

Défi musical et estival : jour 6

Une chanson qui qui vous rappelle quelque part

Le petit jardin, chanté par Jacques Dutronc, encore une chanson que j'ai découverte assez tard, me ramène à la maison d'une amie de ma mère, une femme assez vieille, qui se situait du côté de la place des fêtes. C'était une maison ancienne, plutôt modeste, plutôt sombre, avec justement un de ces petits jardins qui sont toujours une surprise dans Paris. Je me souviens encore de l'arbre au milieu. Cette maison, comme tant d'autres, a été démolie lors du massacre perpétré par Pompidou le bétonneur et l'on est passé de Paris-village, un peu populaire encore, à Paris-grandes barres d'immeubles. Ces quartiers ont été défigurés et tous les gens qui vivaient là sont morts.

 

25/07/2011

Défi musical et estival : jour 3

Une chanson qui vous rend joyeux

D'aucuns me diront que c'est un peu régressif, et ils n'auront sans doute pas tort. Mais outre une passion jamais démentie pour le Muppet Show, je ne puis regarder ce grand moment surréaliste sans m'amuser comme un fou. Ceci posé, il y a pas mal de grands morceaux rock qui donnent une pêche pas possible.

24/07/2011

Défi musical et estival : jour 2

Votre chanson la moins favorite

Là, cela va se bousculer au portillon vu le nombre de chanteurs qui m'énervent et me poussent à éteindre la radio dès que je les entends. Dois-je les citer ? Dois-je vraiment mettre une vidéo de l'un de ces morceaux en forme de bouillie musicale qui encombrent bien assez les ondes, les écrans et le reste . Vraiment ? Non...

Mais je ne vais quand même pas me défiler avec cette chanson assez mauvaise, voir terrible pour moi qui adooore le footbal, d'un chanteur que par ailleurs j'apprécie, Miossec avec son ode au stade brestois :

 

On a quand même eu Goycoechea,
Stephane Guivarc'h, David Ginola,
Vincent Guerin, Martins Corentin,
Bernard Pardo, Bernard Lama,

Quand je me remémore ce qu'on avait comme cuisse
On a quand même trouvé le moyen de sortir de piste
Quand je me remémore, aujourd'hui je le déplore
Ce que l'on a pu faire comme trou dans le coffre fort

On s'est bilandeposé, on s'est sabordé
On s'est hunter-crouté, on s'est faillité,
On s'est rupturedeligamenté...

Mais qu'avons nous fait de nous
Pour être a ce point au fond du trou
Ce n'est même plus de la D3
C'est encore bien pire que ca...

Mais cette année y'a quand même Lorient
Pourvu qu'ils ne finissent pas eux aussi les pieds devant
Y'a pas de raison si on y met du sentiment
A lécher le ventre mou du classement

On s'est ébouillante et coquillage et crustacé,
Sur la plage abandonné,
On s'est sousdivisionné, On s'est tandonachillé,
On s'est danabalisé...

Stade Brestoa, Tralala lala, Tralala lalere

22/07/2011

Défi musical et estival

Trouvé sur Facebook, via le bon Dr Orlof, voici un défi musical en trente jours et trente chansons qui va nous animer l'Hispaniola tout l'été (du moins une bonne partie, surtout ma période de vacances). Voici donc les trente propositions traduites en français de ma blanche main. Si vous voulez participer, c'est ouvert !

jour 01 – Votre chanson favorite
jour 02 – Votre chanson la moins favorite
jour 03 - Une chanson qui vous rend joyeux
jour 04 - Une chanson qui qui vous rend triste
jour 05 - Une chanson qui vous rappelle quelqu'un
jour 06 - Une chanson qui qui vous rappelle quelque part
jour 07 - Une chanson qui qui vous rappelle un certain évènement
jour 08 - Une chanson dont vous connaissez toutes les paroles
jour 09 - Une chanson sur laquelle vous pouvez danser
jour 10 - Une chanson qui vous endort
jour 11 - Une chanson de votre groupe préféré
jour 12 - Une chanson d'un groupe que vous détestez
jour 13 - Une chanson qui est un plaisir coupable
jour 14 - Une chanson que personne ne s'attend à vous voir aimer
jour 15 - Une chanson qui vous décrit
jour 16 - Une chanson que vous avez aimée mais que vous détestez à présent
jour 17 - Une chanson que vous écoutez souvent à la radio
jour 18 - Une chanson que vous aimeriez écouter à la radio
jour 19 - Une chanson de votre album préféré
jour 20 - Une chanson que vous écoutez quand vous êtes en colère
jour 21 - Une chanson que vous écoutez quand vous êtes joyeux
jour 22 - Une chanson que vous écoutez quand vous êtes triste
jour 23 - Une chanson que vous aimeriez jouer à votre mariage
jour 24 - Une chanson que vous aimeriez jouer à vos funérailles
jour 25 - Une chanson qui vous fait rire
jour 26 - Une chanson que vous pouvez jouer sur un instrument
jour 27 - Une chanson que vous aimeriez pouvoir jouer
jour 28 - Une chanson qui vous fait sentir coupable
jour 29 - Une chanson de votre enfance
jour 30 – Votre chanson favorite à la même époque de l'année dernière

Je démarre demain.

09/02/2011

Processus créatif

The promise est un objet superbe et déconcertant. Un ensemble à décrypter soi-même pour l'apprécier, ce qui demande un minimum d'efforts et pose peut être plus de question qu'il n'apporte de réponses.

Objet superbe, ce coffret propose le fac-similé d'un carnet de Bruce Springsteen, les pages sur lesquelles il écrit ses chansons, ses textes avec les hésitations, les ratures, les rajouts, les notes, la recherche du mot juste. L'objet est beau par lui-même mais n'est pas livré avec un mode d'emploi (ou si peu), comme s'il nous l'avait confié à l'issue d'un concert ou mieux, après une rencontre. Il y a là quelque chose d'intime, de proche qu'il met dans sa relation avec son public, ses fans, qui est bien dans sa manière.

Maintenant, l'objet n'est pas donné non plus, mais c'est compensé par ce qui accompagne ce document brut. Pour le décrypter, il faut le relier à la musique et aux images qui l'accompagnent. La partie musique se compose de l'album Darkness on the edge of town, sortit en 1978 et remastérisé pour l'occasion (c'est la mode). Ce n'est pas l'album que je j'écoute le plus souvent (moi, ça serait plutôt The wild, the innocent and the E-Street shuffle), mais c'est plein de grands classiques comme Racing in the streets ou Badlands avec deux morceaux atypiques et superbes : Factory et Candy's room. Ce n'est pas pour cela qu'on va acheter le coffret. Le gros morceau, c'est The promise, double album qui est ce que Darkness... aurait pu être si le Boss n'était pas le Boss et que cette période intensément créative, marquée par des déboires judiciaires avec son bientôt ex-manager et des tensions avec son groupe, ne l'avait poussé à se remettre encore et toujours en question. Perfectionniste et déterminé, obstiné, il travaille, compose, reprend et finalement accouche de l'album aux tonalités sombres mais pas que (Promised land) bien connu.

D'une certaine façon, The promise est un peu ce que sera en 1980 le double The river. Mélange des genres, enjoué et mélancolique, ludique et romantique, foisonnant là où Darkness... sera finalement d'un bloc.

Ce n'est pas évident mais The promise ici proposé a été bien évidemment travaillé aux standards 2010 avec parfois l'intervention des musiciens d'aujourd'hui comme dans Someday (Well'be together). Ce n'est pas non plus un recueil d'inédits, la majorité des chansons étant sorties soit dans les albums live officiels (Fire, Because the night), soit dans le magnifique coffret Tracks (Rendez-vous) et son prolongement light (The promise, la chanson). Et je ne parle des éditions parallèles. Ici, les morceaux retrouvent une sorte d'ensemble qui se veut cohérent, du moins voulu par leur créateur. Ce travail pose les limites de l'exercice. The promise n'est pas tant le premier jet de Darkness... que la vision qu'en a Springsteen trente ans plus tard. Y a t'il tromperie sur la marchandise ? Ambiguïté seulement. The promise n'existe pas puisque c'est Darkness... qui existe, mais The promise est à écouter à la lumière du fameux carnet (ou le carnet à lire à la lumière de l'album), et l'ensemble donne à approcher le travail créatif en progression qui va aboutir à l'objet fini Darkness... D'où l'impression déroutante aux premières écoutes d'un album qui coince aux entournures, chansons inégales, impressions à peine atténuée par le travail de relecture de 2010. mais l'on comprend alors comment et pourquoi Candy's boy est devenu Candy's room, comment Come on (Let's go tonight) est devenu Factory, pourquoi des morceaux plus enlevés ou joyeux comme Talk to me ou Ain't good enought for you ont été écartés. On pourra s'amuser à retrouver les cris de fête de ce dernier dans Sherry darling de The river, tel phrase recyclée dans une autre chanson. On pourra s'étonner, comme à l'époque de Tracks, de l'élimination de chansons superbes comme Spanish eyes ou se réjouir de la mise à l'écart de choses plus anecdotiques. Curieusement, avec le temps, l'album finit par s'imposer comme autonome (plutôt le second disque en ce qui me concerne) et trouve sa place entre les deux opus officiels.

La partie image propose du solide. Un documentaire sur la fabrication de l'album The promise : the making of Darkness on the edge of town réalisé par Thom Zimmy (J'y reviendrais sur Inisfree) pasionnant évidemment de bout en bout. Un second DVD propose une interprétation live de l'album en intégral, au Paramount Theater d'Asbury park, lieu culte s'il en est, par le E-street band en 2009. Plongés dans une lumière de film noir à la James Gray, Springsteen et son groupe jouent les 10 chansons avec une énergie toujours bluffante, avec une sorte de gravité qu'ils ont pris sans doute avec l'âge. Peut être aussi comme le soupçonne le bel article sur 7 and 7 is, le groupe ressent-il désormais la perte de l'un de ses membres, Danny Federici décédé en avril 2008. Thrill hill vault 1976-1978 est un ensemble hétéroclite et remarquable d'essais de studio, répétitions et concert, qui par son côté en vrac est d'une aide précieuse au décryptage de l'ensemble. Sans commentaire à postériori, il donne à voir le travail quotidien, les prises interrompues, les moments magiques où tout se met en place. L'interprétation de The promise et un beau moment qui m'éclaire sur la raison qui fait que je n'ai jamais complètement adhéré à cette chanson. Le texte est brillant, mais malgré des passages musicaux où passe l'harmonie de jeu du groupe, elle manque d'un petit quelque chose qui l'aboutirait pleinement, ce qui explique sans doute que Springsteen ne l'a jamais retenue.

Pièce de résistance pour finir, un concert à-priori complet de la tournée 78 (la meilleure, la meilleure) à Houston. Les images portent leur âge (malgré quelques effets qui semblent avoir été rajoutés) mais du coup, avec leurs défauts, elle forment un voyage dans le temps inoubliable. Ce sont les images imaginées sur les plus enthousiasmants de nos bootlegs. C'est le bonheur !

Le coffret

Sur 7 and 7 is

22/09/2008

Radio Hispaniola

Comme ça marche bien sur Inisfree, j'installe aussi une petite radio sur l'Hispaniola via les ressources du site Deezer. Au programme, des morceaux en forme de poire que j'essayerais de renouveler mensuellement. Pour commencer, une sélection de voix féminines avec Aimée Mann, Brenda Khan, Françoiz Breut, Stacey Kent, Billie Holliday et quelques autres. Le lecteur est sur votre droite, sous les derniers commentaires. Amusez vous bien.

29/02/2008

Toute une époque

Un scopitone assez fantastique dans tous les sens du terme. Web of love par Joi Lansing. Admirez les couleurs et l'érotisme très nature.

 

06/09/2007

Un retour

Brenda Kahn est de retour ! Ou presque... Je vous avait présenté la carrière de cette chanteuse virulente et talentueuse (lien), carrière qui avait brutalement patiné au début des années 2000. Elle a ouvert depuis quelques temps un nouveau site internet avec une petite bio qui explique ses aventures (elle a eu deux enfants !) et donne des nouvelles de sa musique. Vous y trouverez trois chansons à télécharger librement qui montrent que la belle n'a rien perdu de sa voix ni de son énergie. Elle travaille à un nouvel album alors vous pouvez passer et lui laisser un mot d'encouragement.

23/02/2007

Julie London

10/02/2007

From this moment on

Je suis resté un moment en froid avec la belle Diana Krall. Cela date de la fois où je l'ai vu se produire en public, à Nice. Comme je le crois beaucoup de spectateurs à priori conquis par avance, nous avons été très déçus. Un set d'à peine une heure, enchaînant les morceaux de façon impersonnelle, techniquement brillante mais mécanique, comme absente. Moi qui suis habitué à la chaleur et l'énergie de gens comme Springsteen, ce fut la douche froide. A sa décharge, il faut avouer qu'une altercation entre deux spectatrices au beau milieu du concert n'a rien arrangé. Tandis que ça criait au balcon, Diana Krall s'est croisée les bras devant son piano, nous disant qu'elle n'était venue que pour jouer de la musique. Pénible sans doute pour elle mais un peu court.

Pourtant j'étais complètement tombé sous le charme de ses deux sommets, The look of love et When i look in your eyes. Sa voix chaude et bien timbrée, la vivacité scat de certains passages, ses choix impeccables (Bacharah, Porter, Gershwin), ses liaisons avec le cinéma à travers la chanson écrite pour le film de Clint Eatswood, les souvenirs de comédies musicales... Et par dessus tout une façon de créer une ambiance intime, comme si elle ne chantait que pour vous. Et puis ces pochettes glamour où elle offrait au regard ses longues jambes. Je sais, on s'éloigne du jazz, mais comme je l'ai écris plus haut j'étais sous le charme. Jusqu'à ce fichu concert.

Même si le projet était plus personnel et sans doute plus risqué, j'ai eu du mal à la suivre sur The girl in the other room ou sur le sympathique et banal Christmas songs. Entre temps, mon disquaire favori m'avait fait découvrir Stacey Kent qui, dans un registre proche, possède une qualité qui manque un peu à la blonde Diana : l'humour. Kent a une proximité, une décontraction qui, sans empêcher l'émotion et la sensualité dans le chant, tranche agréablement sur le petit côté diva que cultive Krall. Mais je ferais quelque chose sur Stacey Kent une autre fois. Il suffit de dire qu'elle avait supplanté largement Diana Krall sur la platine et dans mon coeur.

Me voici réconcilié. J'écoute avec régularité From this moment on, son nouvel album qui renoue avec ses plus beaux moments. Je le fais aussi écouter à ma fille qui ne s'en plaint pas. J'ai retrouvé la Diana Krall que j'appréciais et j'en suis heureux. On y retrouve une très belle collection de standards comme Little girl blue de Richard Rogers ou Isn'T This A Lovely Day d'Irving Berlin (chanté naguère par Fred Astaire dans Top Hat), des arrangements sophistiqués et surtout une tonalité générale plus légère, plus décontractée que dans certains autres albums. "Cet album coïncide avec la période la plus heureuse de ma vie " déclare-t'elle "et je pense que ça s’entend dans la musique. Elle reflète tout à fait mon état d’esprit actuel : la joie que j’ai dans ma vie de tous les jours, le mariage, la famille. L’espoir que j’ai dans l’avenir. " Il est vrai qu'elle attend son premier enfant et que, d'une façon ou d'une autre, il y a une sincérité, une générosité qui transpire dans chaque note et chaque mot. Le titre lui même, « à partir de maintenant » semble emblématique d'un nouveau départ. Un départ qu'elle prend avec un retour aux sources et l'affirmation d'un talent majeur.


Pistes :

Diana Krall sur Wikipedia

Site officiel

Le point de vue de Piotrek

Le CD

09/02/2007

Réconciliation

medium_DianaKrall.jpg

07/02/2007

Détente sous l'orage

22/01/2007

Slalom Dame, la suite

Adorant l'actrice, je me serais intéressé de toutes façons à la chanteuse. Bonne surprise, Paramour le premier album de Jeanne Balibar dépassait l'anecdotique. Et largement. Les accents rock de certains morceaux laissaient entrevoir un véritable engagement que, semble-t'il, les concerts ont confirmé. Hélas pour moi, la belle n'est point descendue jusqu'en mes contrées du sud-est et je n'ai pu le vérifier.

 

Sort donc le second opus : Slalom Dame. Couverture étrange, de dos, comme une invitation à découvrir une autre face. Essai transformé avec brio. Ce second album a la particularité de se dégager totalement de l'influence directe du cinéma. Dans le premier, il y avait le duo avec Maggie Cheung, la citation de Godard, les reprises de Johnny Guitar et de La nuit du chasseur. Ici, il n'y a que quelques réminiscences comme Christiana qui sonne comme Tristana, ou le « J'savais pas quoi faire » de Rien qui sonne comme le « j'sais pas quoi faire » de Pierrot le fou. Et puis un titre, Cinéma, qui est un joli faux-ami. Mais c'est peut être une déformation de cinéphile.

 J'ai tant d'appétit

Pour les choses de la vie

Qui ne se mangent pas

 

Douze chansons donc avec le concours toujours inspiré de Rodolphe Burger (déjà très présent sur Paramour) et de Dominique A entre autres. Douze pièces entre mélancolie et humour qui donnent une unité de style plus rigoureux que sur l'éclectique album précédent. Et une voix assurée, toujours aussi chaude, qui prend parfois des accents façon Barbara. D'accord, toute proportion gardée.

 L'horloge était trop fine

Chaque seconde trop choyée

Qui boit l'eau des piscines

Quand l'eau vient à manquer

 

Jeux sur les mots qui rappellent parfois les collages de Gainsbourg. Une touche de séduction, une fausse nonchalance et la distance ironique sous le spleen léger. Jeanne Balibar s'affirme comme chanteuse et ferait presque oublier de regretter l'actrice. Presque.

 Mon cas m'isole

Oui je suis folle

 

quelques pistes à suivre :

La page de l'album chez Naïve

Un article sur RFI musique

Critique sur Volubilis

Critique sur Chronic'art

Le disque

15/01/2007

Un peu de rose

10/01/2007

Slalom Dame

medium_Slalom_dame.jpg

17/12/2006

Streets of Laredo

The streets of Laredo, connue aussi sous le nom de The Cowboy's Lament, est une ballade western typique qui m'a rappelé de lointains souvenirs de films d'enfance, Le fils du désert de John Ford en particulier. J'en parlerais d'ici quelques jours sur Inisfree. La chanson est inspirée d'une ballade irlandaise, A Handful of Laurel pour certains, The Bard of Armagh' pour d'autres. Elle aurait récrite vers 1876 parFrancis Henry Maynard au Texas. Nombreux sont ceux qui l'on interprétée, Johnny Cash dont je vous laisse ici la version, l'une des plus fameuses The Sons of the Pioneers, le groupe fétiche de Ford, Joan Baez, Roy Rogers, Prefab Sprout, Marty Robbins, Chet Atkins, Vince Gill, Tex Ritter, Arlo Guthrie et la liste n'est pas exhaustive. J'aurais bien vu Springsteen l'inclure dans son dernier album, We shall Overcome.

 

        

As I walked out on the streets of Laredo
As I walked out on Laredo one day,
I spied a poor cowboy wrapped in white linen,
Wrapped in white linen as cold as the clay.
"I can see by your outfit that you are a cowboy."
These words he did say as I boldly walked by.
"Come an' sit down beside me an' hear my sad story.
"I'm shot in the breast an' I know I must die."
"It was once in the saddle, I used to go dashing.
"Once in the saddle, I used to go gay.
"First to the card-house and then down to Rose's.
"But I'm shot in the breast and I'm dying today."
"Get six jolly cowboys to carry my coffin.
"Six dance-hall maidens to bear up my pall.
"Throw bunches of roses all over my coffin.
"Roses to deaden the clods as they fall."
"Then beat the drum slowly, play the fife lowly.
"Play the death march as you carry me along.
"Take me to the green valley, lay the sod o'er me,
"I am a young cowboy and I know I've done wrong."
"Then go write a letter to my grey-haired mother,
"And tell her the cowboy that she loved has gone.
"But please not one word of the man who had killed me.
"Don't mention his name and his name will pass on."
When thus he had spoken, the hot sun was setting.
The streets of Laredo grew cold as the clay.
We took the young cowboy down to the green valley,
And there stands his marker, we made, to this day.
We beat the drum slowly and played the Fife lowly,
Played the dead march as we carried him along.
Down in the green valley, laid the sod o'er him.
He was a young cowboy and he said he'd done wrong.

Le CD de Johnny Cash

30/11/2006

La rade



06/10/2006

Ravel

Jeux d’eaux, composé par Maurice Ravel en 1901 en hommage à son maître, Gabriel Fauré, est interprétée ici par Sviatoslav  Richter

« Les Jeux d'eau, parus en 1901, sont à l'origine de toutes les nouveautés pianistiques qu'on a voulu remarquer dans mon œuvre. Cette pièce, inspirée du bruit de l'eau et des sons musicaux que font entendre les jets d'eau, les cascades et les ruisseaux, est fondée sur deux motifs à la façon d'un premier temps de sonate, sans toutefois s'assujettir au plan tonal classique. »

(Maurice Ravel, esquisse autobiographique, 1928)

 

Source : Wikipedia

13/09/2006

Le bonheur

   
 

22/08/2006

Entr'acte

Le grand Bill "Bojangles" Robinson sur Swanee River (1932)